Février 2025 : Teste gratuitement mon programme dédié à la physiologie de l’accouchement (webinaire en ligne). Inscription ici

10 façons de réduire le risque d’interventions médicales lors d’un accouchement

L’accouchement est un processus naturel, très couramment médicalisé aujourd’hui. Si votre souhait est d’éviter au maximum les interventions (non nécessaires bien entendu), voici nos 10 conseils pour favoriser un accouchement naturel et serein. 

Choisir un lieu de naissance aligné avec vos valeurs

Pourquoi c’est important ?

Le choix du lieu d’accouchement peut directement influencer le déroulement du travail et le taux d’interventions médicales. Chaque maternité ou structure hospitalière applique ses propres protocoles, certains étant plus interventionnistes que d’autres. Il existe une réelle disparité : certaines maternités sont plus tournées vers la physiologie et la réduction des gestes médicaux, tandis que d’autres privilégient une approche plus médicalisée.

Si l’accouchement en maison de naissance ou en plateau technique est une option possible pour vous, il faut savoir que ces structures sont souvent connues pour leur respect des processus naturels. Cependant, même au sein des maternités classiques, de plus en plus d’unités physiologiques voient le jour, avec des « salles nature » équipées pour favoriser un accouchement plus libre et respectueux du rythme maternel.

Comment faire ?

Certains établissements publient chaque année leurs taux d’interventions (comme la maternité de Port-Royal à Paris). N’hésitez pas à rechercher ces informations ou à les demander directement lors de votre inscription. Les avis d’autres parents peuvent aussi être une source d’indications, bien qu’ils restent subjectifs.

Un autre élément clé est la communication avec l’équipe médicale. Dès l’inscription et tout au long de la grossesse, posez vos questions pour mieux comprendre l’approche de la maternité :

  • Quelle est votre approche concernant les interventions médicales ?
  • Quels sont vos taux de césariennes, déclenchements et épisiotomies ?
  • Disposez-vous d’une salle nature ou d’équipements favorisant la mobilité pendant le travail ?
  • Si la salle nature n’est pas disponible, quelles options existent en salle classique ?

Lors de votre rendez-vous du 8ᵉ mois à la maternité, ainsi qu’avec l’anesthésiste, profitez-en pour échanger sur vos attentes. Une bonne communication avec l’équipe vous permettra d’être plus sereine et d’évoluer dans un environnement qui respecte vos choix autant que possible.

Préparer un projet de naissance

Pourquoi c’est important ? 

Le projet de naissance est un formidable outil pour vous, votre partenaire et l’équipe médicale. Il vous permet d’anticiper le jour J, d’identifier ce qui pourrait vous aider à mieux vivre votre accouchement et d’exprimer vos souhaits de manière claire. En réfléchissant en amont aux différentes situations possibles, vous limitez les risques de panique et de perte de contrôle face à l’inattendu.

Comment faire ? 

  • Formulez vos préférences en positif : concentrez-vous sur ce que vous souhaitez vivre plutôt que sur ce que vous voulez éviter. Par exemple, au lieu de noter « Je ne veux pas être allongée sur le dos », écrivez plutôt « Je souhaite pouvoir bouger librement et adopter les positions qui me soulagent ».
  • Mettez l’accent sur votre confort : quels éléments vous aideront à vous sentir en sécurité et à entrer dans votre bulle ? Lumière tamisée, présence d’un accompagnant, bain chaud…
  • Prenez en compte votre vécu personnel : si vous avez déjà accouché ou si vous arrivez avec un contexte particulier (peur, expérience précédente difficile, traumatisme…), mentionnez-le. Plus l’équipe médicale comprendra vos besoins, mieux elle pourra vous accompagner.

L’objectif n’est pas d’éviter toute intervention médicale à tout prix, mais de créer un cadre qui favorise le travail naturel du corps et l’action des hormones essentielles à l’accouchement. Un projet de naissance bien pensé vous aidera à vous sentir actrice de votre accouchement, tout en restant dans une dynamique d’échange et d’adaptabilité.

Suivre une préparation à la naissance adaptée 

Pourquoi c’est important ?

L’accouchement est un phénomène naturel, mais s’y préparer permet d’aborder le jour J avec plus de confiance et d’autonomie. Une bonne préparation vous aide à mieux gérer la douleur, à favoriser la progression de votre bébé et à limiter le stress, qui peut freiner le bon déroulement du travail. Connaître vos besoins physiologiques (sécurité, calme, intimité, chaleur) vous permet aussi de créer un environnement plus favorable, même en milieu hospitalier.

Comment faire ?

  • Choisissez une préparation adaptée à votre projet de naissance : certaines sont plus théoriques (cours en maternité), d’autres plus pratiques (haptonomie, hypnose, yoga, chant prénatal).
  • Testez différents outils en amont : positions d’accouchement, respiration, visualisation… pour savoir ce qui vous convient le mieux.
  • Renseignez-vous sur la physiologie de l’accouchement pour mieux comprendre votre corps et anticiper les éventuelles interventions.
  • Discutez avec votre sage-femme pour adapter la préparation à vos besoins spécifiques.

Si vous cherchez une approche complète alliant théorie et pratique, notre programme en ligne Physiologie de l’accouchement : connaissances, confiance et autonomie est sûrement fait pour vous ! Nous y abordons comment le corps est organisé pour donner naissance, nous vous conseillons de nombreuses techniques de gestion de la douleur et nous vous délivrons nos plus précieux conseils pour un accouchement facilité. 

Créer un environnement optimal 

Pourquoi c’est important ?

L’environnement joue un rôle déterminant dans le déroulement de l’accouchement. Il influence directement la production des hormones essentielles au travail, comme l’ocytocine, qui favorise des contractions efficaces, et les endorphines, qui agissent comme des antidouleurs naturels.

Un cadre inadapté (bruit, lumière trop forte, stress, personnel médical trop présent) peut entraîner une sécrétion accrue d’adrénaline, une hormone de stress qui ralentit les contractions et peut compliquer le travail. À l’inverse, un environnement intime et rassurant permet au corps de fonctionner naturellement et fluidifie le processus de naissance.

Comment faire ?

Quel que soit le lieu où vous accouchez, vous pouvez adapter votre environnement pour qu’il soit plus propice au bon déroulement du travail. Trois éléments clés sont à privilégier : l’intimité, la chaleur et un sentiment de sécurité. La pénombre, le calme et la présence de personnes bienveillantes et de confiance aident à entrer dans sa bulle et à lâcher prise.

Quelques actions concrètes à mettre en place :

  • Demander à tamiser la lumière ou utiliser une veilleuse.
  • Fermer la porte pour limiter les allées et venues.
  • Apporter votre propre musique et des écouteurs pour vous recentrer.
  • Amener une étole ou une couverture pour vous sentir enveloppée et sécurisée.
  • Diffuser une odeur familière avec un tissu imprégné d’une huile essentielle autorisée.
  • S’entourer des bonnes personnes. Choisissez un accompagnant qui vous apaise (votre partenaire, une amie, une doula). Une présence rassurante peut faire toute la différence et aider à mieux gérer la douleur.

Un environnement bienveillant, intime et adapté permet au corps de fonctionner naturellement et favorise un accouchement plus fluide, plus doux et avec moins d’interventions médicales. 

Éviter les interventions médicales “de convenance” 

Pourquoi c’est important ?

Certaines interventions, comme les échographies supplémentaires ou les déclenchements non justifiés médicalement, peuvent entraîner une cascade d’interventions et complexifier l’accouchement. Aujourd’hui, la tendance est à l’anticipation maximale des risques, y compris dans le processus naturel de la naissance.

Le déclenchement, par exemple, peut être indispensable en cas de complications médicales, mais il est aussi parfois proposé par précaution ou commodité. Or, il augmente souvent l’intensité des contractions, complique leur gestion en l’absence d’endorphines naturelles et accroît les risques d’interventions supplémentaires (péridurale, extraction instrumentale, césarienne).

De même, multiplier les échographies sans raison médicale peut générer un stress inutile et des suspicions non fondées (comme des estimations de poids approximatives), menant parfois à des décisions médicales anticipées sans nécessité avérée.

Chaque intervention a plus de chances d’en provoquer une autre. Lorsqu’il n’y a pas de besoin médical clair, privilégier une approche plus physiologique permet d’éviter des interventions inutiles et de laisser le corps suivre son rythme.

Comment faire ?

Échanger avec son professionnel de santé est essentiel pour ne pas subir d’interventions par défaut. Un bon moyen d’évaluer la nécessité d’une intervention est la méthode BRAIN, qui repose sur cinq questions clés :

  • Bénéfices : Quels sont les avantages de cette intervention ?
  • Risques : Quels sont les risques associés ?
  • Alternatives : Existe-t-il d’autres options possibles ?
  • Intuition : Que vous dit votre ressenti ?
  • Ne rien faire : Que se passe-t-il si l’on attend ?

Cette méthode aide à poser les bonnes questions en amont, pour prendre des décisions éclairées et adaptées à chaque situation.

Bénéficier du soutien d’une doula

Pourquoi c’est important ?

Les doulas offrent un soutien émotionnel, physique et informatif, ce qui permet de réduire le besoin d’interventions comme les péridurales ou le recours à des instruments. N’étant pas des professionnelles de santé, elles adoptent une posture moins intimidante, basée sur l’écoute, la bienveillance et l’expérience. Une doula est une personne que vous avez choisie, qui vous connaît et à qui vous faites confiance. Ces éléments sont précieux pendant la grossesse et le jour de la naissance.

Elle vous offre un espace de parole sûr et bienveillant, où vous pouvez exprimer vos doutes, vos peurs et vos attentes. Son rôle n’est pas de projeter son vécu, mais de vous aider à construire votre propre histoire dans les meilleures conditions. Les études montrent que la présence d’une doula réduit significativement les taux de césariennes, d’instrumentalisations de l’accouchement et d’usage de la péridurale.

Comment faire ?

  • Se faire accompagner par une doula pendant la grossesse : Même si elle ne peut pas toujours assister à l’accouchement (les règles varient selon les maternités mais c’est assez rare en France), une préparation avec une doula est un atout précieux. Elle vous aide à mieux comprendre votre corps, à découvrir votre puissance et à renforcer votre confiance en vous.
  • Choisir la bonne doula : Prenez le temps de rencontrer plusieurs doulas pour trouver celle avec qui le feeling passe. Vous devez vous sentir écoutée, entendue et en confiance. Une doula est une alliée qui s’intègre à votre histoire, alors choisissez-la avec soin.
  • Aborder la gestion de la douleur tôt : Certaines méthodes de gestion de la douleur nécessitent une pratique pendant la grossesse. Une doula peut vous guider dans l’apprentissage de techniques comme la respiration, la visualisation ou les massages.
  • S’informer sur l’anatomie et la physiologie : Une doula vous aide à comprendre le déroulement de l’accouchement et la douleur associée. En abordant l’accouchement comme un processus naturel et porteur de sens, elle renforce votre sentiment de compétence et de sérénité.

Même si vous optez pour une péridurale, une doula peut vous aider à rester mobile, à explorer des positions confortables et à éviter d’autres interventions. Si c’est une prestation que vous pouvez vous offrir, n’hésitez pas : c’est un investissement précieux pour votre bien-être et celui de votre bébé.

Attendre le travail actif avant de se rendre à l’hôpital

Pourquoi c’est important ?

Arriver trop tôt à l’hôpital peut augmenter le risque d’interventions, car le personnel peut être moins patient si votre travail met du temps à se lancer. Dans certains cas, l’équipe médicale peut même juger que votre travail n’est pas assez avancé et vous renvoyer chez vous. C’est souvent très déstabilisant pour les mamans qui y sont confrontées, cela peut susciter un sentiment d’incompréhension voire d’échec ce qui ne participe pas à renforcer votre confiance. 

Chez vous, vous êtes dans un environnement familier, où il est plus facile de se mettre dans sa bulle, de bouger librement, de boire et manger à votre guise et de respecter votre intimité. 

Dès lors que vous êtes sur votre lieu de naissance, vous pourriez être confrontée à des contraintes comme le monitoring, l’attente d’une salle, le bruit ou le stress ambiant, qui peuvent perturber la sécrétion de vos hormones naturelles. 

Comment faire ?

  • Rester chez vous tant que vous vous sentez en sécurité : Si vous êtes à l’aise et confiante chez vous, c’est souvent le signe que vous pouvez attendre. Profitez de ce temps pour vous reposer, manger légèrement et vous préparer mentalement à l’arrivée imminente de votre petit bébé (shot d’ocytocine assuré).
  • Si les contractions surviennent la nuit, évitez d’allumer la lumière ou de commencer à chronométrer immédiatement. Essayez de vous rendormir pour préserver votre énergie. Si le sommeil est impossible, restez calme et profitez de ce moment pour visualiser la rencontre avec votre bébé, dans une ambiance apaisante et sereine.
  • Si les contractions surviennent le jour, continuez vos activités normales en restant active sans forcer. Reposez-vous entre les contractions pour conserver votre énergie, et déléguez à votre partenaire le suivi du rythme des contractions pour éviter de rester rivée sur votre montre ou votre application. Mangez légèrement et hydratez-vous régulièrement, et profitez de ce temps pour faire le plein d’ocytocine en faisant ce qui vous fait du bien, en répétant vos mantras ou en écoutant votre playlist préférée.
  • Utiliser la règle 4-1-1 : Attendez que vos contractions soient régulières et intenses (toutes les 4 minutes, durant 1 minute, depuis 1 heure pour un premier accouchement). Cependant, votre sentiment de sécurité doit primer : si vous ne vous sentez plus à l’aise chez vous, si vous commencez à stresser, même avant d’atteindre cette règle, c’est le signal qu’il est temps de partir. 

Rester mobile pendant le travail

Pourquoi c’est important ?

Le mouvement est l’un des meilleurs alliés pour favoriser un accouchement naturel. Rester mobile pendant le travail favorise la progression du bébé dans le bassin, réduit la douleur et diminue le besoin d’interventions comme les péridurales ou les déclenchements. Les études ont maintes fois démontré les bénéfices de la mobilité et des positions verticales : elles améliorent la circulation fœto-maternelle, optimisent l’oxygénation du bébé, rendent les contractions plus efficaces, réduisent la durée du travail et facilitent la descente du bébé tout en limitant les risques de trauma périnéal.

Comment faire ?

  • Changer de positions fréquemment : Marchez, utilisez un ballon de naissance, adoptez des positions comme à quatre pattes, accroupie ou debout. Ces mouvements aident à ouvrir le bassin et à soulager les contractions. Si c’est votre souhait, n’hésitez pas à missionner votre partenaire de vous inciter à le faire lors du travail car une fois dans sa bulle, concentrée sur la gestion de la douleur, on peut avoir tendance à oublier de bouger.
  • Même avec une péridurale : Si vous optez pour une péridurale, vous pouvez également exprimer votre souhait d’être aidée à garder une certaine mobilité. Des positions asymétriques ou à quatre pattes sur le lit peuvent être compatibles avec la péridurale et bénéfiques.
  • Privilégier la surveillance fœtale intermittente : Si vous êtes à faible risque, demandez si vous pouvez bénéficier d’une surveillance fœtale intermittente (écoute manuelle du rythme cardiaque du bébé) plutôt qu’une surveillance continue. Cela permet d’être plus libre de vos mouvements tout en évitant un suivi continu qui peut engendrer du stress à chaque petit changement de rythme cardiaque de votre bébé.

En restant mobile et en favorisant la gravité, vous maximisez vos chances de vivre un accouchement plus court, moins douloureux et moins médicalisé. Que vous soyez avec ou sans péridurale, chaque mouvement compte pour soutenir le travail naturel de votre corps ! 

Éviter la position sur le dos

Pourquoi c’est important ?

La position allongée sur le dos, bien que parfois reposante en cas de contractions intenses ou de travail prolongé, n’est pas la plus physiologique pour l’accouchement. Elle limite l’ouverture du bassin, qui fonctionne comme un papillon articulé : selon la posture adoptée, le sacrum et le coccyx peuvent s’ouvrir davantage, gagnant jusqu’à 2 centimètres supplémentaires. Cette mobilité, combinée à l’action de la relaxine (une hormone qui assouplit les ligaments), facilite la descente du bébé.

Comment faire ?

  • Privilégier les positions verticales : Debout, accroupie, à quatre pattes ou en position latérale, ces postures favorisent l’ouverture du bassin et la descente du bébé tout en réduisant la douleur.
  • Même avec une péridurale : Si vous avez une péridurale, demandez de l’aide pour adopter des positions asymétriques ou légèrement inclinées. Utilisez un ballon de naissance ou des coussins pour soutenir votre corps.
  • Tester l’ouverture du bassin : Pour comprendre l’impact de la position sur le bassin, essayez cet exercice simple :
    1. Asseyez-vous sur le bord d’une chaise, les pieds bien à plat au sol. Écartez les genoux et sentez l’espace qui se crée au niveau de votre bassin.
    2. Adossez-vous ensuite à la chaise. Vous remarquerez que vos cuisses se referment légèrement, réduisant l’angle d’ouverture du bassin.
      Ce petit exercice montre comment il est possible d’optimiser l’ouverture de son bassin et de gagner de l’espace naturellement. 

Retarder l’effort de poussée 

Pourquoi c’est important ?

Dans de nombreux protocoles hospitaliers, il est encore courant de demander aux femmes de pousser dès qu’elles atteignent la dilatation complète. Pourtant, cette pratique n’est pas optimale, ni pour la maman ni pour le bébé. Les études montrent que patienter jusqu’à 3 heures avant de pousser peut réduire significativement les interventions médicales (forceps, ventouse, césarienne), limiter la fatigue et diminuer les risques de déchirures périnéales ou d’épisiotomies.

En effet, pousser trop tôt et trop fort fragilise les tissus et peut entraîner des complications. À l’inverse, attendre que le corps déclenche naturellement l’envie de pousser — ce qu’on appelle la poussée réflexe — permet une descente plus douce et plus efficace du bébé. Cette approche respecte le rythme naturel du corps et réduit la pression sur le périnée, tout en limitant l’épuisement de la maman.

Comment faire ?

  • Attendez que l’envie de pousser devienne irrésistible. Beaucoup de femmes décrivent ce moment comme une sensation de « Ça pousse tout seul. »
  • Même si la tentation est grande de forcer pour accélérer le processus, laisser le corps faire son travail naturellement réduit la fatigue et les risques de déchirures.
  • Lorsque la tête du bébé commence à sortir, vous pourriez ressentir le « cercle de feu » — une sensation de chaleur intense et de tension au niveau de la vulve. Bien que cette étape puisse être inconfortable, il est recommandé de respirer profondément sans exercer de poussée supplémentaire pour éviter le risque de déchirures.

Conclusion 

Réduire les interventions médicales lors de l’accouchement est possible en faisant des choix éclairés et en écoutant son corps. Que ce soit en choisissant un lieu de naissance aligné avec vos valeurs, en restant mobile pendant le travail, ou en laissant place à la poussée réflexe, chaque décision compte pour favoriser un accouchement respecté et naturel. L’objectif n’est pas de refuser toute intervention, mais de mettre toutes les chances de votre côté pour que votre corps puisse faire ce qu’il sait faire de mieux : donner la vie.

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

LES DERNIERS ARTICLES